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Τετάρτη 14 Ιανουαρίου 2015

Fausse alerte à l'ISS

Les astronautes américains retourneront probablement dans leur segment de la Station spatiale internationale dès mercredi soir (heure de Moscou), a dit à RIA Novosti Sean Fuller, directeur des programmes des vols pilotés de la NASA en Russie.
« L’équipe américaine se trouve en ce moment dans le segment russe et retournera probablement dans son segment dès ce soir ou demain matin », a précisé Fuller.

Selon lui, le segment russe est bien pourvu en eau et vivres et ses conditions sanitaires permettent à tous les 6 membres de l’équipage de se sentir à l’aise.

Auparavant, le centre de contrôle des vols de la NASA à Houston a fait savoir qu’il n’y avait pas de fuite d’ammoniac et que l’incident n’était qu’une fausse alerte. Un responsable de la NASA a précisé que l’alerte aurait pu être déclenchée par un saut de pression, la panne d’un capteur ou la défaillance du système informatique.

Les spationautes russes Alexandre Samoukoutiaev, Anton Chakplerov et Elena Serova, les Américains Barry Willmore (commandant de bord) et Terry Werst de même que Samantha Christoforetti de l’Agence spatiale européenne, sont actuellement de quart à l’ISS.

  http://fr.ria.ru/science/20150114/203419909.html
14/1/15
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Σάββατο 26 Ιουλίου 2014

Les USA fourniront du gaz en France.

On apprend que le 17 juillet une filiale du groupe d'énergie « Cheniere » a signe avec EDF un contrat pour la livraison de gaz naturel liquéfié, 770 000 tonnes par an, et ce pour la durée de 20 ans.

Donc, la question se pose: en France, on ne permet pas l’extraction du gaz de schiste par la méthode de coups hydrauliques, mais, derrière, on signe un contrat avec les Etats-Unis qui ont proposé leurs services aux pays européens.

Comment peut-on alors considérer cette décision de la compagnie nationale énergétique française? Nous adressons cette question à Henry Hude, écrivain et philosophe.


Henry Hude. Nous avons la même chose entre la France et l’Allemagne : l’Allemagne a banni le nucléaire et, en même temps, ils importent de l’électricité française qui est produite en grande partie par des centrales nucléaires. Il y a dans tout cela une part d’hypocrisie et peut-être aussi de nécessité politique. Mais il ne faut pas exagérer. J’ai regardé les chiffres : pour EDF, c’est un petit contrat. Cela représente 1,5% de notre consommation dans 2 ou 3 ans et 0,5% aujourd’hui, en supposant qu’on puisse importer cette énergie. Cela reste relativement marginal.

La Voix de la Russie. Je comprends très bien. Mais ce n’est pas seulement la quantité qui est importante. Ce qui compte, c’est le geste. La France est beaucoup critiquée pour être à la merci ou à l’écoute des Etats-Unis, même si c’est difficile à mesurer. Ne pensez-vous donc pas que c’est un geste qui pourrait déclencher une avalanche de critiques vis-à-vis de la France et de ses relations avec les Etats-Unis ?

Henry Hude. Ecoutez, je pense qui y a déjà un problème interne à la France au départ, à l’intérieur de la majorité gouvernementale, un désaccord entre les écologistes et les autres, car la France ne permet pas l’exploitation des gaz de schiste. Mais ce geste s’inscrit aussi a l’intérieur de la politique internationale, c’est certain. EDF est contrôlé par l’Etat à 85% donc ce sont des décisions d’Etat. Il y a l’affaire du Mistral, l’affaire des « sanctions », l’affaire BNP, l’affaire de la Deutsche Bank, … La France comme l’Allemagne est sous pression américaine pour durcir ses positions face à la Russie… Il est possible que cette affaire de gaz soit une concession qui ne coûte pas trop cher. C’est comme ça que je le vois, mais je n’ai pas les moyens de le prouver.

Ces contrats interviennent à un moment ou le PDG d’EDF a des problèmes fiscaux à cause de sa très jeune femme. Je vous passe les détails, mais il faudrait être journaliste d’investigation pour savoir quels sont exactement les tenants et aboutissants de cette affaire.

LVdlR. Faut-il systématiquement rattacher un problème quelconque économique (et là, on parle de fourniture d’électricité ou d’énergie tout simplement) à un aspect politique ? Par exemple, il y a beaucoup de reproches vis-à-vis des Verts qui disent « Il ne faut pas utiliser le gaz de schiste. Il ne fait pas utiliser l’énergie nucléaire. Il ne faut pas ceci, pas cela… » Je sais qu’il y a des voix qui disent : dans la conjoncture actuelle de difficulté économique, il faut essayer par tous les moyens de produire l’énergie, d’être indépendant dans cette production et il faut qu’ils comprennent. En France, a votre avis, où est le futur de ces productions d’énergie entre les éoliennes, la production atomique, les barrages d’EDF dans les Alpes ?

Henry Hude. Vous posez la question à un philosophe, donc ce ne sont pas des questions sur lesquelles je peu avoir un avis. Tout ce que je peux dire, d’un point de vue moral, c’est que l’exploitation du gaz de schiste semble avoir des conséquences sur l’environnement, potentiellement sur la santé publique, qui sont très importantes et qui n ont pas été explorées suffisamment. Aux Etats Unis, il est pratiquement impossible d’avoir des études objectives sur le sujet. Par contre, je pense qu’il est urgent d’attendre, et si d’autres pays veulent faire des expériences, tant mieux ou tant pis pour eux, nous verrons bien après. En tout cas c’est ma position. Par ailleurs il y a pour l’instant le nucléaire ou dans des pays comme la France, qui ne sont pas sismiques, parait être une solution dont de toute façon on ne peut pas se passer dans l’immédiat. Apres, on peut imaginer des révolutions énergétiques, mais je ne sais pas…

LVdlR. Je vous pose cette question, car justement ce qui m’intéresse, c’est le point de vue d’un philosophe. Dans les années 70, vous mentionnez une foule de ces romans fantastiques dans lesquels on disait qu’en l’an 2000 on vivrait un communisme ou une autre organisation planétaire qui serait toujours pour l’homme et qui le rendrait heureux, qu’on volerait sur d’autres planètes, etc. Au lieu de ça on se retrouve avec des petites guerres d’énergie entre les pays qui avaient des relations tout à fait fiables à l’époque.

  • Henry Hude. Oui. De toute façon, l’Europe a joui de paix pendant longtemps parce que l’Union Soviétique et les Etats-Unis étaient décidés à ce qu’il n’y ait pas de guerre en Europe et nous n’avions de toute façon pas la liberté de prendre des décisions de ce type la. C’est pour cela que la situation européenne (si on exclue la Russie de l’Europe) est extrêmement préoccupante car cette tension entre la Russie et le Etats-Unis est très contrariante pour nous et très dangereuse à terme.

LVdlR
. Espérons que la raison triomphe.

Henry Hude. Elle peut en effet triompher.
 http://french.ruvr.ru

26/7/14
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Κυριακή 22 Ιουνίου 2014

Pétrole: Téhéran prêt à compenser la baisse de la production en Irak

Téhéran est prêt à compenser la baisse de la production pétrolière en Irak due à l'aggravation de la situation dans ce pays, rapporte samedi l'agence IRNA, citant le ministre iranien du pétrole Bijan Namdar-Zangheneh.

D'après le ministre, suite aux opérations armées lancées par le groupe djihadiste Etat islamique en Irak et au Levant (EIIL), les prix du pétrole ont augmenté de 5%. Selon des informations publiées la semaine dernière, les islamistes ont attaqué une grande raffinerie de pétrole dans la ville de Baïdji (nord de l'Irak). Ils ont pénétré sur le territoire de l'entreprise et détruit plusieurs réservoirs de pétrole. 


Evoquant les sanctions décrétées par Washington contre l'industrie pétrolière iranienne, M. Namdar-Zangheneh a souligné que Téhéran "cherchait à maintenir le niveau stable de production de pétrole".

Le ministre a également espéré que malgré les sanctions américaines, les compagnies pétrolières étrangères reviendraient en Iran et que des projets portant sur le gaz seraient également relancés. 

Appuyé par des sunnites irakiens et par d'anciens militaires de l'armée de Saddam Hussein, le groupe EIIL s'est emparé en une semaine d'une région irakienne englobant la province de Ninawa, dont Mossoul, deuxième ville du pays, ainsi que d'une partie de la province de Salah ad-Din. Les islamistes menacent d'attaquer Bagdad, ce qui pousse les étrangers à quitter massivement la capitale irakienne.

Dans les régions occupées, les djihadistes pratiquent des exécutions sommaires, contraignant des milliers d'habitants à fuir leurs foyers.

[RIA Novosti]21/6/14 
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Σάββατο 23 Νοεμβρίου 2013

La conférence climat de Varsovie s'achève sur un accord obtenu à l'arraché

Après une longue nuit blanche, le marathon des négociations sur le climat de Varsovie s'chève sur un accord qui pose les premiers jalons vers Paris 2015.

Par
Est-ce le début d'une sortie d'impasse ? Un accord a été adopté dans l'après-midi du samedi 23 novembre à Varsovie (Pologne), au terme de négociations marathon sur le climat. Cet accord pose les premiers jalons vers la conférence de Paris en 2015 qui doit déboucher sur un texte en mesure de limiter le réchauffement à 2°C.
Ce texte est venu couronner plus de trente heures de négociations non-stop dans le grand stade de Varsovie, où se tenait cette conférence rassemblant plus de 190 pays et qui devait s'achever officiellement vendredi.

Pourquoi cet accord a failli ne jamais voir le jour ?

L'accord sur Paris 2015 et les moyens d'y parvenir à un accord ambitieux sur le climat a été formulé en urgence, et de manière informelle par les principaux négociateurs dans un coin de la salle, alors qu'un blocage sur cette question menaçait de faire échouer la conférence de Varsovie.
Les négociations ont buté toute la journée du samedi sur la position intransigeante de la Chine et de l'Inde qui se sont opposées à l'Union européenne et les Etats-Unis sur la formulation du texte. Les deux pays n'ont cessé d'insister pour continuer à être considérés comme des "pays en développement", et à ce titre, ne pas devoir en faire autant que les pays industrialisés contre le réchauffement. Le négociateur chinois Su Wei s'était notamment dit "très préoccupé" par le fait que le texte propose que toutes les parties prennent des "engagements" en matière de lutte contre le changement climatique.
Le ton est monté au point que la perspective d'achever la conférence de Varsovie sans accord était évoquée ouvertement, ce qui aurait été un faux-départ très préjudiciable pour l'accord de 2015. Les négociateurs des principaux pays, Chine, Inde, Etats-Unis, entre autres, se sont alors rassemblés dans un coin de la grande salle de conférence et durant plus d'une une heure, ont négocié une formulation acceptable par tous.

Que contient l'accord ?

L'ambition de la conférence de Varsovie était de poser les fondations de l'ambitieux accord attendu en 2015 à Paris sur les réductions de gaz à effet de serre. Pour la première fois, l'accord doit concerner tous les pays, être légalement contraignant et suffisamment ambitieux pour limiter le réchauffement du globe à 2°C par rapport à l'ère pré-industrielle, contre la trajectoire actuelle de 4°C. 
Le texte adopté à Varsovie stipule notamment que les Etats doivent commencer à préparer des "contributions" sur ce qu'ils entendent faire pour lutter contre le changement climatique, qui seront intégrées dans l'accord de 2015. Cette formulation est plus faible que celle du texte précédent, rejeté notamment par les grands émergents comme la Chine et l'Inde, qui prévoyait des "engagements", formule que souhaitait la France. 
Un texte sur l'aide financière aux pays du Sud a également été adopté à Varsovie, sans répondre aux exigences de ces derniers qui voulaient plus de visibilité sur la mobilisation des 100 milliards de dollars promis d'ici 2020 pour les aider à faire face au changement climatique. L'accord ne pose pas de montants intermédiaires sur la table et, seule concession des pays riches, il "presse" les pays développés à "continuer à mobiliser de l'argent public, à des niveaux supérieurs" à ceux de l'aide d'urgence décidée pour 2010-2012, soit 10 milliards de dollars par an.

Quels désaccords persistent ?

Le texte sur la création d'un mécanisme portant sur les "pertes et dommages" que subissent les pays du Sud à cause du rechauffement n'a pas été adopté.
"Il n'y pas de consensus sur ce texte", a déclaré le délégué egyptien au nom du G77 (pays en développement) et la Chine, qui a demandé "plus de temps" pour en discuter, alors que la conférence de Varsovie avait déjà dépassé d'une journée la date officielle de clôture.
 http://www.francetvinfo.fr/monde/environnement/la-conference-climat-de-varsovie-s-acheve-sur-un-accord-obtenu-a-l-arrache_465918.html#xtor=RSS-3-[lestitres]
23/11/13
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Παρασκευή 21 Δεκεμβρίου 2012

Novembre est le 333e mois consécutif de surchauffe sur la planète

Pour le 333e mois consécutif, la température de la planète en novembre a été supérieure à la moyenne relevée pour la même période au cours du XXe siècle, d'après le bilan mensuel publié par la National Oceanic and Atmospheric Administration (NOAA) américaine. Une température mensuelle mondiale inférieure à la moyenne du XXe siècle n'a plus été observée sur Terre depuis le mois de février 1985.

La plupart des régions du monde ont enregistré le mois dernier des températures supérieures à la normale, à l'exception de l'Asie centrale et de l'est des Etats-Unis. Dans l'est de la Russie, les températures sont montées jusqu'à 5°C au-desssus des normales saisonnières. L'Australie a connu, au cours des journées de novembre, des températures supérieures de 1,73°C à la moyenne, l'écart a été de 1,9°C en Corée du Sud, la Croatie a vu le thermomètre grimper de 2,4°C à 4,4°C au-dessus des températures habituelles.

SIGNE DU RÉCHAUFFEMENT

Affichant 13,76°C, la moyenne des températures relevées au sol et à la surface des océans est la cinquième plus chaude de l'histoire pour un mois de novembre, soit 0,67°C de plus que la moyenne du XXe siècle. Signe du réchauffement en cours, les dix mois de novembre les plus chauds depuis 1880 sont survenus ces douze dernières années, tandis que les dix mois de novembre les plus froids datent tous d'avant 1920.

Si l'on considère les trois mois allant de septembre à novembre, cette période de 2012 est la deuxième plus chaude jamais observée, derrière 2005. Sur les onze premiers mois de l'année, 2012 se présente comme la huitième année la plus chaude depuis que les mesures existent, avec une température supérieure à la moyenne du XXe siècle de 0,59°C.

Les phénomènes météorologiques extrêmes se sont multipliés en 2012 –des ouragans Sandy et Bopha à la sécheresse historique aux Etats-Unis en passant par la fonte record de la banquise arctique.

Grégoire Allix
.lemonde.fr
21/12/12

Οι νεκροί Έλληνες στα μακεδονικά χώματα σάς κοιτούν με οργή

«Παριστάνετε τα "καλά παιδιά" ελπίζοντας στη στήριξη του διεθνή παράγοντα για να παραμείνετε στην εξουσία», ήταν η κατηγορία πο...