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Παρασκευή 21 Μαρτίου 2014

El calentamiento amenaza la regulación del clima en el Océano Antártico

Muy por debajo de la superficie del océano, las corrientes profundas actúan como cintas transportadoras, canalizando el calor, el carbono, el oxígeno y los nutrientes por los mares de todo el mundo.

Un nuevo estudio realizado por Irina Marinov, de la Universidad de Pennsylvania, y Raffaele Bernardello, de la Universidad McGill, ha descubierto que el cambio climático reciente puede estar actuando para frenar una de estas cintas transportadoras, con consecuencias potencialmente graves para el futuro del clima del planeta .


"Nuestras observaciones nos muestran que hay menos formación de estas aguas profundas cerca de la Antártida ", dijo Marinov."Esto es preocupante porque, si este es el caso, se va a reducir la captación de calor y dióxido de carbono procedente de la actividad humano, haciendo de este un circuito de retroalimentación positiva para el cambio climático".

Los oceanógrafos han dado cuenta de que las aguas profundas de la Antártida, una corriente masiva de agua fría, salada y densa que fluye a dos mil metros bajo la superficie del mar desde cerca de la costa de la Antártida hacia el ecuador se ha ido reduciendo en las últimas décadas. Esto es motivo de preocupación, ya que se cree que actúa ocultando el calor y el carbono antropogénico de la atmósfera. El Océano Antártico absorbe aproximadamente el 60 por ciento del calor antropogénico producido en la Tierra y del 40 al 50 % del dióxido de carbono antropogénico.

"El Océano del Sur está surgiendo como algo muy, muy importante para la regulación del clima", dijo Marinov. Junto con sus colegas, Marinov utilizó modelos de discernir si la disminución de la circulación de las aguas del fondo del Antártico podría atribuirse al cambio climático antropogénico.

La razón, según concluyen estos científicos, tiene que ver con el hecho de que el cambio climático ha llevado a una mayor precipitación en todo el continente antártico, lo que conduce a mayores niveles de agua dulce en la superficie.

El agua dulce es más dinámica que el agua salada y por lo tanto no se hunde a través de las capas del océano como lo hace el agua más salada, dando lugar a una menor convección en mar abierto en el Océano Austral y a que la actividad en las aguas profundas se ralentice.

Examinando veinte mil puntos de datos, los investigadores demostraron que la superficie del Océano Antártico ha ganado en agua dulce durante los últimos sesenta años. También encontraron que los gradientes verticales de salinidad y la densidad han aumentado, lo que sugiere que la mezcla se ha reducido.

"Vemos que el proceso convectivo está cerrándose ya que el agua cada vez es más dulce", dijo Marinov, de acuerdo con la apliación de hasta treinta y seis modelos complejos de simulación de cambios de patrones climáticos, conforme a las últimas tecnologías.

Siete de los modelos sugieren que el aumento de agua dulce en el Océano Austral podría detener la convección por completo en 2030, y la mayoría de los modelos muestran fuertes descensos de convección durante el siglo XXI y de reducción de la formación de las aguas antárticas de profundidad. Europapress
 http://spanish.ruvr.ru/news/2014_03_21/El-calentamiento-amenaza-la-regulacion-del-clima-en-el-Oceano-Antartico-4586/

21/3/14
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Πέμπτη 2 Ιανουαρίου 2014

Climat : le réchauffement serait plus grave que prévu


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VIDÉO - Les modèles climatiques auraient surestimé le taux de formation de nuages bas, ce qui ferait monter la température globale de plus de 3 °C dans cinquante ans.

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Mauvaise nouvelle pour débuter l'année. Le réchauffement climatique pourrait être plus grave que prévu. Il faut s'attendre, en moyenne, à une hausse des températures d'au moins 3°C quand, sous l'effet des activités humaines, la concentration de gaz carbonique (ou dioxyde de carbone) dans l'atmosphère aura doublé. «Ce qui devrait se produire vers le milieu du siècle, dans une cinquantaine d'années », attend Steven Sherwood, un expert du climat.
Si rien n'est fait pour limiter les émissions de gaz à effet de serre, au premier rang desquels le dioxyde de carbone (CO2) notamment produit par la combustion de gaz naturel, de pétrole ou de charbon, la température devrait grimper d'au moins 4 °C à la fin du siècle et de plus de 8 °C vers 2200, selon une recherche publiée ce 2 janvier dans la revue Nature. Ce travail est signé par le Pr Steven Sherwood de l'université de New South Wales, dans la banlieue de Sydney (Australie), et par deux chercheurs français du laboratoire de météorologie dynamique et de l'Institut Pierre-Simon Laplace (CNRS/université Pierre et Marie Curie).

Cette étude resserre la fourchette de prédictions réalisées sous l'égide du Giec (Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat) qui «depuis 1990, restait comprise, en gros, entre 1,5 °C et 4,5 °C» pour un doublement du CO2, rappellent deux chercheurs japonais dans un commentaire publié dans la même édition de Nature.

Échange de vapeur d'eau et convection

D'après les trois auteurs de la nouvelle étude, la mauvaise compréhension des mécanismes de formation de ces nuages bas serait responsable du grand écart entre les estimations les plus basses (+1,5 °C) et les plus hautes (+4,5 °C) des différents modèles. La plupart des programmes modélisant l'évolution du climat auraient surestimé le taux de formation de nuages bas, situés entre 2 km et 3 km au-dessus des océans dans les zones tropicales, à partir de l'évaporation de l'eau. Ces nuages réfléchissent la lumière solaire, ce qui limite le réchauffement de la Terre. Les climatologues pensaient jusqu'à présent que le réchauffement, en augmentant l'évaporation de l'eau des océans, augmenterait du coup le taux de formation de ces nuages.
Mais les observations du monde réel montrent que les courants ascendants de vapeur d'eau remontent à différentes altitudes dans l'atmosphère. L'augmentation globale des températures devrait accélérer cette circulation de la vapeur d'eau entre la basse atmosphère et les plus hautes couches. Cela aurait comme conséquence d'assécher les couches les plus basses, réduisant ainsi les chances de formation de nuages bas qui interceptent les rayons solaires et limitent les apports de chaleur.
Il faudrait donc revoir les modèles climatiques avec cette nouvelle approche. «Sous l'effet du réchauffement climatique, moins de nuages devraient se former », assure Steven Sherwood. Avec ses collègues français, le chercheur australien a appliqué son approche à 43 modèles informatiques du climat qui peuvent tenir compte de l'impact «de convection entre la basse et la moyenne troposphère tropicale ». Ces échanges de vapeur d'eau entre les nuages bas et ceux de moyenne altitude expliqueraient, pour moitié, ces ajustements.
Conscient des limites de son approche, le Pr Sherwood attend les Cassandre : «Des sceptiques aiment à critiquer les modèles du climat qui seraient erronés, et nous sommes les premiers à admettre qu'ils ne sont pas parfaits. Mais nous avons trouvé des erreurs faites dans les modèles qui attendent le plus faible réchauffement climatique, pas dans ceux qui prévoient le plus fort réchauffement.»
http://www.lefigaro.fr/sciences/2014/01/01/01008-20140101ARTFIG00118-climat-le-rechauffement-serait-plus-grave-que-prevu.php
2/1/14
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Sur le même sujet:
 
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Δευτέρα 11 Νοεμβρίου 2013

Vers des cyclones plus violents et pluvieux .

AFP - Les climatologues n'ont toujours pas établi de lien formel entre cyclones et réchauffement climatique, mais ils s'attendent à des phénomènes de plus en plus violents liés à la montée de la température des océans.
Au moment même où les Philippines comptaient leurs morts, dont le total pourrait dépasser les 10.000 après le passage du typhon Haiyan, la 19e conférence de l'ONU sur le changement climatique s'ouvrait lundi à Varsovie: plus de 190 nations épaulées par une armée d'experts forts de très peu de certitudes.
L'étude des cyclones manque cruellement, il est vrai, de "bases de données assez homogènes car il n'y avait pas de satellites avant les années 70", fait remarquer Fabrice Chauvin, chercheur au Centre national de recherches météorologiques, à Toulouse.

"Nous manquons de recul", confirme à l'AFP Hervé Le Treut, professeur à l'Université Pierre et Marie Curie, à Paris Jussieu, spécialiste notamment de la modélisation numérique du système climatique.
Le dernier point international sur le réchauffement date de septembre 2013, quand le Groupe d'experts sur l'évolution du climat (Giec), mandaté par l'ONU, a rendu publique une partie de son dernier rapport.
Férus de termes mesurés, adeptes de la périphrase prudente, ces experts ont quand même convenu qu'il était "virtuellement certain que la surface supérieure de l'océan s'est réchauffée de 1971 à 2010".
Ce réchauffement est évalué à environ 0,1 degré Celsius par décennie pour les 75 mètres proches de la surface, jusqu'à 0,015°C à moins 700m.
Un constat soutenu par trois méthodes indépendantes d'observation, qui permettent aux climatologues d'estimer "vraisemblable que la partie supérieure de l'océan se soit réchauffée aussi durant la première moitié du 20e siècle".


Ce réchauffement est-il dû aux activités de l'Homme ? est-il supérieur à la "variabilité naturelle" de la planète ? le débat reste ouvert, mais dès son rapport de 2007, le Giec estimait "probable", sur la base de modélisations, que les cyclones soient à l'avenir plus intenses et plus pluvieux.
"Source d'énergie"
Paradoxalement, Fabrice Chauvin fait d'abord remarquer que ces mêmes modélisations informatiques pointent vers un nombre plus restreint de cyclones, pour des raisons différentes, liées à l'atmosphère, avec notamment des vents moins homogènes.
"Mais quand il y en aura, il y aura des phénomènes plus intenses en termes de précipitations", ajoute-t-il.
"Comme les températures de surface des océans sont plus élevées, cela va alimenter une source d'énergie plus importante pour les cyclones. Il y aura donc une tendance à avoir des cyclones un peu plus violents", explique-t-il à l'AFP.
"Une température plus importante à la base, cela va alimenter un phénomène plus fort d'évaporation et donc davantage de pluies disponibles", croit-il.
"On peut penser qu'effectivement, on a une mécanique qui peut favoriser des cyclones puissants", estime aussi Hervé Le Treut.
"Il existe une tendance au réchauffement (des océans) et une augmentation de l'intensité des cyclones fait partie des risques", ajoute-t-il.
Lui aussi s'attend à davantage de précipitations. "S'il fait plus chaud, on a davantage d'eau dans l'atmosphère et de manière générale, on peut s'attendre à avoir des intensités de pluie plus fortes dans un monde plus chaud".
Le typhon Haiyan, le plus violent à avoir jamais touché la terre ferme, donnera en tout cas à réfléchir à la conférence de Varsovie qui doit lancer deux années de négociation pour déboucher en 2015, à Paris, sur un accord global contraignant de réduction des gaz à effet de serre, à l'origine du réchauffement, qui entrerait en vigueur à partir de 2020.
 france24.com

Οι νεκροί Έλληνες στα μακεδονικά χώματα σάς κοιτούν με οργή

«Παριστάνετε τα "καλά παιδιά" ελπίζοντας στη στήριξη του διεθνή παράγοντα για να παραμείνετε στην εξουσία», ήταν η κατηγορία πο...